24/01/2020
16:14
Ligue 1 : Face au PSG, un choc à ne pas manquer
Dimanche soir (21h00), le LOSC reçoit le Paris Saint-Germain dans un Stade Pierre Mauroy à guichets fermés. Face au leader de la Ligue 1 Conforama, les Dogues espèrent assoir encore un peu plus leur suprématie à la maison. Présentation de la rencontre.
Forcément, lorsque l'on parle de la réception du Paris Saint-Germain, solide leader de Ligue 1 Conforama, tout le monde sans excéption se rappelle les folles sensations ressenties en avril dernier lorsque les Dogues croquaient le champion de France en titre (5-1). Mais cette saison, tout sera différent comme l'explique Christophe Galtier : "Les effectifs ont changé. Le PSG de la fin de saison dernière n'est pas celui d'aujourd'hui". En effet, de nouvelles têtes sont apparues des deux côtés, ce qui peut nous offrir un duel au sommet entre le meilleur buteur lillois en Ligue 1 Conforama, Victor Osimhen (10 buts) et Mauro Icardi, la recrue parisienne (9 buts). Et face à l'attaque parisienne, Christophe Galtier a un plan. "Ils ont 4 joueurs extraordinaires devant. On va devoir aller là où ils ne nous attendent pas".
"On a les qualités pour imposer notre jeu contre le psg"
Même son de cloche du côté de Renato Sanches. "Nous avons une équipe jeune et talentueuse. On va tout donner pour imposer notre jeu et notre philosophie contre le PSG. On a les qualités pour le faire". Car oui, les Dogues ont un avantage : celui de recevoir. Dans un Stade Pierre Mauroy à guichets fermés, les 18 Dogues se batteront, soutenus par un public qui sera à coup sûr au rendez-vous, comme depuis le début de la saison. Dans leur arène, les Lillois n'ont jamais perdu cette saison. Ils n'ont même jamais été menés plus de 8 minutes : c'était face à Nîmes (et c'est d'ailleurs moins que toutes les autres équipes de Ligue 1). En face, les Parisiens sont invaincus sur leurs 8 derniers matchs de Ligue 1, et ils ont également remporté 8 de leurs 9 derniers déplacements en championnat. Mais après tout, sur un match, "tout est envisageable". Ce n'est pas de nous, mais de Christophe Galtier !