Il est le 3ème Suédois de l’Histoire du LOSC

Les plus anciens se souviennent forcément de Kennet Andersson, Dogue en 1993-1994, puis meilleur buteur de la Coupe du Monde 1994 avec la Suède. Les plus jeunes ont sans doute encore en mémoire le passage éclair d’Emra Tahirović, brièvement Lillois en 2007-2008. Gabriel Gudmundsson devient aujourd’hui le 3ème joueur suédois de l’Histoire du LOSC.





 

Il est issu d’une famille de footballeurs

Son papa, Niklas Gudmundsson, fut un brillant milieu de terrain international suédois (7 sélections), passé notamment par Blackburn Rovers et Ipswich Town, en Angleterre. Son jeune frère, Johan, 18 ans, évolue cette saison avec les U19 d’Halmstads BK, le club familial où Gabriel, mais aussi son père ainsi que son cousin Alexander Arvidsson, ont joué.

 

Latéral gauche, il a commencé sa carrière… Ailier droit

Ses premiers pas chez les pros, Gabriel Gudmundsson les a effectuées dans la peau d’un percutant ailier droit. C’est d’ailleurs dans cette position qu’il a tapé dans l’œil des recruteurs du FC Groningue où il a signé en 2019. Ce n’est que la saison dernière que son entraîneur, Danny Buijs, l’a replacé dans le couloir gauche de la défense. Avec succès, puisqu’il s’y est immédiatement imposé comme l’un des meilleurs spécialistes d’Eredivisie, la première division néerlandaise.

 

Il portera le numéro 5

Peut-être faut-il y voir un bon présage, Gabriel Gudmundsson évoluera cette saison avec le 5 dans le dos, comme Cédric Carrez, Mohammed Camara, Bruno Cheyrou, Mikkel Beck, Rafael Schmitz, Larsen Touré, Badis Lebbihi, Yannis Salibur, Idrissa Gueye, Renato Civelli, Adama Soumaoro et Sven Botman avant lui.

 

Il est fan de hockey sur glace

Recruté par l’Halmstads BK lorsqu’il avait douze ans alors qu’il évoluait dans le petit club de Snöstorp/Nyhem, celui qu’on surnomme « Gabbe » n’était pas qu’un inconditionnel de football. S’il pratiquait le tennis de table en parallèle, il a toujours été un grand fan de hockey sur glace et fervent supporter de l’équipe locale, les Halmstad Hammers (aujourd’hui Halmstad Hockey). Il avoue d’ailleurs qu’il aurait volontiers opté pour une carrière d’hockeyeur s’il n’avait pas percé dans le ballon rond.